Les raisons qui poussent à faire une levée de fonds

Généralement, les entreprises font une levée de fonds pour financer des projets. Néanmoins, ce ne sont pas tous les projets qui sont éligibles. Les projets acceptés sont des projets prometteurs. En d’autres mots, les projets qui ont une réelle chance de fonctionner et de prospérer. Le besoin de financement doit être réel et palpable. Il faut aussi tenir compte du temps nécessaire à la réalisation du projet. Une contrepartie doit être assurée pour les investisseurs. Comme devenir actionnaire dans l’entreprise ou un poste de décision.

Comment ça marche ?

La levée de fond est différente des emprunts. Ces derniers entraînent un remboursement. Or dans une levée de fonds, les investisseurs sont payés par la place dans l’entreprise. Ils ne se soucient plus seulement du projet financé, mais aussi du fonctionnement de l’entreprise en général.

Les différentes sortes de levées de fonds

Il existe deux sortes de levées de fonds.

La levée de fonds pour l’amorçage

Ce premier type se fait au début du projet. Les entrepreneurs cherchent un financement pour démarrer le projet. Le coût est bas, car l’entreprise n’a pas encore acquis sa véritable valeur.

La levée de fonds pour le développement

Le Projet est déjà lancé, mais il lui faut un coup de pouce. Cela peut concerner la publicité ou le marketing. Le coût est élevé, car l’entreprise est déjà bien établie. De plus, le projet a déjà prouvé sa fiabilité.

La phase de préparation

Cette phase se fait après avoir trouvé le projet. Il faut dresser un business plan qui justifie en quoi il est prometteur. Le projet doit être crédible aux yeux des investisseurs. Les besoins de l’entreprise doivent être précis. Négocier l’offre avec les investisseurs signifie leur proposer une bonne contrepartie.

Vie au travail difficile

Dans bon nombre d’entreprises, tout est source d’angoisse, de stress, d’anxiété ce qui rend la vie au travail particulièrement difficile. Êtes-vous du genre à vous inquiéter tout le temps de vos performances, est-ce que vous vous demandez constamment si vous êtes à la hauteur et si votre patron est satisfait de votre travail ? Le fait est que l’anxiété peut facilement faire perdre la concentration, donc, petit à petit, vous allez perdre en efficacité et en rentabilité. Bien sûr, votre patron s’en rendra compte très vite, ce qui pourrait vous coûter votre travail. Il est donc vital que vous appreniez à gérer correctement votre anxiété.

Connaissez-vous

La première chose à faire est de bien vous connaître. Si vous savez ce qui vous angoisse, ce qui vous rend anxieux, il vous sera plus facile d’éliminer ces causes ou les gérer comme il faut. Est-ce le fait de parler lors d’une réunion, est-ce être appelé au bureau du patron, etc. ? Définissez vos faiblesses et il vous sera plus facile d’y remédier et vous serez moins anxieux. Adoptez également des techniques pour rester au calme et pour retrouver le contrôle de vos émotions. Faut-il que vous sortiez un moment, marcher un peu, appeler un ami, boire un café ou autre ? Faites-le et vous serez moins anxieux.

Quelques notions à connaitre avant d’investir

Un investissement est une action qui peut être autant risquée qu’avantageuse pour l’entreprise. Avant de se lancer, il est essentiel de prendre en compte certains critères de base. Un investissement doit toujours suivre les objectifs de l’entreprise et ne pas s’éloigner de sa vision principale. C’est donc une question de priorité qui est en jeu, car le choix de l’investissement devra être bien réfléchi.
Dans un investissement, il y aura également l’obligation de puiser dans les ressources financières. Les dépenses et les gains qui en découleront doivent être bien analysés avant de prendre toute décision. Pour être certain de faire un bon investissement, il est préférable de se faire conseiller par des experts.

Les types d’investissement

Dans la gestion d’entreprise, il existe deux types d’investissement principaux. La première est de type comptable, et qui est l’ensemble des éléments de base de l’entreprise. En d’autres termes, on parle ici des investissements corporels tels que les appareils technologiques ou le mobilier utilisé ; des investissements financiers, réunissant les fonds de commerce et les actions entreprises par la société.
Le deuxième est de type gestion. Ce sont les investissements productifs, de remplacement et de confort de l’entreprise. C’est-à-dire, tous les investissements dont les objectifs sont de viser à établir un bon chiffre d’affaires, à améliorer le cadre de travail et de permettre à l’entreprise de survivre sur le long terme.

L’entretien

C’est l’une des bases fondamentales d’un audit. De l’entretien découleront toutes les informations liées au domaine d’activité audité. Les réponses fournies par les salariés audités durant cette phase permettront d’établir des analyses d’audit. Elles constitueront également des preuves potentielles qui vont concourir à l’atteinte des objectifs de l’audit. Pour toutes ces raisons, l’auditeur devra minutieusement préparer ses entretiens. Outre le fait de faire preuve de savoir-faire et de savoir-être, il devra établir une check-list des questions à poser à l’avance. C’est cette liste qui définira sa ligne de conduite durant les entretiens. Lors de ses interrogatoires, il devra aussi savoir recadrer ses interlocuteurs tout en favorisant les échanges afin de collecter toutes les informations les plus pertinentes. Les réponses et les entretiens ne doivent pas faire perdre du temps ni à l’auditeur ni à l’employé parce que le sujet ou la discussion à dévier sur des points non essentiels.

Le diagramme de flux

Par définition, il s’agit d’une représentation graphique sur laquelle sont représentés les flux d’informations. Cette base graphique met en exergue les différentes activités liées au processus ainsi que leurs risques éventuels. Sur cette même base doivent figurer les contrôles clés permettant de maîtriser ces risques. En outre, le diagramme de flux permet à l’auditeur d’avoir sur un support schématisé et simplifié, l’ensemble des éléments liés au processus d’audition. Son élaboration doit passer par des étapes précises en commençant par l’identification du processus à schématiser ainsi que les différentes activités. Les documentations ainsi que les flux devront aussi y être identifiés. Il en va de même pour chacun des acteurs, mais ces derniers devront figurer dans des colonnes distinctes.

Le référentiel

Le référentiel d’audit se présente comme un document où sont établies les techniques et les bonnes pratiques d’audit sur lesquelles peut s’appuyer l’auditeur. C’est un outil où sont recensés les objectifs de chaque processus de l’audit, les risques ainsi que les contrôles à effectuer pour limiter ces derniers. Notez que lesdits contrôles serviront de base de référence, et c’est à partir d’eux que sera effectuée l’évaluation de l’expertise interne.

Le respect avant tout

Il y quelques dizaines d’années de cela, être patron voulait tout dire. Vous n’aviez qu’à aboyer vos ordres et vos subordonnés s’empressaient d’y obéir. Quelles que soient vos demandes, vous n’aviez qu’à les exprimer et elles auront la réponse que vous souhaitiez. Mais les temps ont bien révolu et c’est une excellente chose. Gardez à l’esprit que vos collaborateurs, et non pas vos subordonnés, veulent qu’ils soient considérés comme des égaux dans le cadre d’une hiérarchie plane. Ils veulent du respect, pour vous bien sûr, mais ils en attendent de votre part aussi. En somme, du donnant-donnant dans un contexte de confiance mutuelle.

La gestion des relations humaines, l’essentiel

Il est devenu évident que pour un management réussi, vous devez, en plus de vos autres tâches, aménager du temps, de l’énergie et des ressources pour tisser des relations de qualité avec vos collaborateurs. N’est-il pas vrai que la confiance peut se perdre facilement alors qu’il faut énormément de temps et d’investissement pour la gagner ? Aussi, pour être un bon manager, ne négligez pas le côté humain qui doit être soigneusement préservé. Être manager n’est seulement gérer et dispatcher les tâches, c’est essentiellement gérer les relations humaines.

Les raisons de l’établissement de ce type de plan

Le plan de développement des compétences est un dispositif que l’employeur met à la disposition de ses salariés. Il vise entre autres la formation de l’employé pour qu’il soit apte à réaliser correctement les missions qui lui incombent à son poste. C’est aussi un dispositif qui va permettre aux salariés d’une société de se développer afin de faire évoluer l’entreprise. En ce sens que le plan de développement des compétences en faisant évoluer les salariés va permettre à l’entreprise de développer ses propres capacités et d’améliorer sa productivité. Cela permet aussi d’organiser des formations communes. Ce qui assurera une meilleure communication entre les salariés et ces derniers avec les dirigeants. Cela vise à assoir un meilleur climat social au sein de l’entreprise et de permettre un meilleur dialogue social.

Le plan de développement des compétences : comment ça se passe ?

Ce type de plan va se ternir en parallèle avec le temps de travail de l’employé. En d’autres termes, un employé qui suivra l’application du plan ne sera pas imputé de son salaire. Par ailleurs, selon le Code du travail dans son article L-6321-6, il est possible que l’activité de développement de compétences se déroule en dehors de l’entreprise. Mais dans ce cas, il faudra que la séance ait été validée par un accord collectif au sein de la société. Si c’est l’employé qui donne son accord pour effectuer l’activité en dehors du cadre de l’entreprise, il ne devra pas dépasser les 30 h de formation par an pour effectuer son développement de compétences. Il faut aussi savoir que si l’employé suit ces formations après l’heure de travail, l’heure de formation ne devra pas être affectée à ses heures supplémentaires, comme stipulé par le décret 2018-1229 du 24/12/2018. Outre ces points, si un employé est concerné par un plan de développement de ses compétences, il n’a pas le droit de refuser cet appui. Toutefois, l’employeur ne peut pas lui imposer la formation après les heures de travail ou durant les jours non travaillés.